Je t’aime, moi non plus
Violence conjugale
Thérapie fermée de 2 mois visant à contrer la violence conjugale masculine sous toutes ses formes.
Thérapie 2 mois
EN MILIEU D’HÉBERGEMENT (FERMÉE)
ADAPTÉE À LA CLIENTÈLE JUDICIARISÉE
ADMISSION DES PARTICIPANTS GRADUELLEMENT
UNE GRILLE DE SERVICES À LA CARTE
Au-delà de la violence, il y a le désespoir des hommes, la recherche d’identité, la transformation des rôles, une dynamique conjugale dysfonctionnelle ou une forme d’attachement malsain. Puis il y a le choc. « Je t’aime moi non plus » vise à supporter l’homme dans son passage de la violence à la reconstruction.
Objectifs
- Respecter strictement les conditions légales de remise en liberté.
- Amener le participant à reconnaître sa problématique de violence conjugale et à adhérer à une démarche de changement par l’apprentissage des compétences nécessaires
- au développement de relations affectives harmonieuses
- à la communication saine et affirmative en situations difficiles
- pour survivre à l’adversité conjugale et à la rupture
- pour se reconstruire
- Se réapproprier sa vie en tant qu’homme et en tant que père après la rupture
Cadre
- Une thérapie en deux volets
- 2 mois de thérapie en hébergement
- Réinsertion sociale supervisée
- En fonction de la gestion du risque, les deux phases peuvent s’accomplir simultanément ou successivement
- Une grille de services et d’activités « à la carte » dispensés en fonction des besoins et des risques
- Groupes ouverts
- Co-animation homme/femme
- Confidentialité (dans les limites de la gestion du risque)
- Surveillance, contrôle et gestion du risque
- Consolidation des acquis et réinsertion sociale
- Référence aux ressources de la communauté
Clientèles cibles
- Personnes sentenciées, à l’une ou l’autre des étapes de leur processus correctionnel
- Personnes prévenues
- Personnes bénéficiant éventuellement d’un programme de mesures de rechange
Résumé des thèmes abordés
- La violence
- La communication
- La vie conjugale
- Comprendre sa propre dynamique relationnelle
- Le choc : la rupture
- La reconstruction